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Nous pensons que l’Union Européenne doit être le leader mondial des transports propres. Nous avons tout intérêt à lutter contre le réchauffement climatique et la dégradation de notre environnement. L’Europe est le plus petit continent mais aussi le plus tempéré. Nous avons donc tout intérêt à le protéger. Ainsi, sommes donc très sensibles à l’utilisation du train, véritable alternative aux transports polluants. La suppression des “sauts de puces” aériens, comme l’a demandé le Parlement néerlandais pour les liaisons Bruxelles-Amsterdam serait une piste à explorer au sein de l’Union Européenne.

Autre enjeu qui nous tient particulièrement à cœur : une plus grande connexion ferroviaire entre les grandes villes européennes afin de créer une alternative durable au transport routier.

L’Europe peut jouer un rôle clef dans ces grands projets comme elle l’a fait, par exemple, avec le tunnel Lyon-Turin. Grâce à ce tunnel entre la France et l’Italie, 150 milliards d’euros d’échange entre les deux pays vont pouvoir être réalisés sans avoir recours au transport routier.

Au-delà de l’enjeu environnemental que représente l’utilisation du train, les liaisons ferroviaires sont un élément crucial du maillage territorial français. Or, la suppression des trains de nuit l’affaiblit considérablement et accentue les fractures territoriales. 

Ces fractures territoriales croissantes, nous sommes les premiers à les dénoncer et elles sont à la base de nos combats quotidiens.  Le centralisme parisien empêche l’épanouissement des initiatives locales. Nos territoires étouffent sous le poids du jacobinisme centralisateur et uniformisateur. En particulier dans la France rurale et dans les banlieues urbaines pauvres, des millions de Français se sentent mis à l’écart par la fracture territoriale.

La suppression croissante des trains de nuit depuis 2009 en est, malheureusement, un exemple tristement significatif. Les zones périphériques subissent un défaut de desserte assez inquiétant qui pénalisent fortement les habitants des zones rurales.

Notre secrétaire nationale aux transports, Edith Gallois, se tient à votre disposition pour échanger avec vous sur ces thématiques.

L’équipe de campagne reste à votre disposition.